Papillons de nuit - Jane Herrigan - Retour de Bifrost 113

Angleterre, futur proche, quarante ans après la catastrophe. Mary, soixante-dix ans, est une aide-soignante d’un genre particulier. Elle s’occupe exclusivement d’hommes dans l’établissement d’État où elle travaille. Il faut dire que des hommes, dans le monde de Mary, il n’en reste pas beaucoup. Ceci depuis quarante ans, depuis qu’une épidémie véhiculée par des papillons de nuit mutants a affecté sur toute la Terre les hommes et pas les femmes. Beaucoup sont morts très vite, les autres devenant – magie d’un micro-organisme s’installant en tel ou tel point différent du cerveau – des tueurs sanguinaires, non seulement meurtriers et violeurs mais aussi malfaisants au point d’éructer bruyamment leur haine des femmes quand ils ne pouvaient pas la mettre en actes. En quelques jours les sociétés se sont effondrées. Mais tout aussi vite des femmes se sont organisées et ont pris dans des mains armées à la fois leur sécurité et des tentatives souvent infructueuses de soigner les hommes les moins ...

Lune Noire - Yasser Abu-el-Hassab


Un seul mot : NON

Et c'est dommage car lire de la SF d'ailleurs est souvent plaisant.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 119, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Sergueï est russe, Nathan est canadien. Tous deux sont astronautes et foulent enfin le sol de la Lune. Loin derrière eux, sur Terre, l’Europe et l’Afrique peinent encore à se remettre d’une guerre dévastatrice. Ici, sur ce satellite gris et minéral, tout est hostile à la vie… Mais il y a dans leur mission l’espoir de fonder une colonie lunaire. 
Un nouveau rêve pour l’humanité, peut-être…
Ou un énième terrain de jeu pour ses plus sinistres habitudes.
Dans ce roman puissant et de sa plume précise, Yasser Abu-el-Hassab nous projette dans une grande partie d’échecs scientifique et politique pour la maîtrise même de l’espace.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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