« Une lecture hautement recommandable »
C'est la conclusion de ma chronique pour Bifrost de l'aussi original qu'agréable Nettle and Bone, un conte qui prouve avec éclat qu'on peut être féministe sans être chiant.
Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 118, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).
Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :
PRIX HUGO DU MEILLEUR ROMAN
CE N’EST PAS LE GENRE DE CONTE DE FÉES OÙ LA PRINCESSE ÉPOUSE UN PRINCE. C’EST CELUI OÙ ELLE LE TUE.
La jeune et timide Marra, dernière fille d’un souverain au royaume convoité, assiste impuissante aux mariages de ses deux sœurs avec le prince Vorling. Car, après la mort mystérieuse de l’aînée, la cadette a dû la remplacer pour tenter de donner enfin un héritier au triste sire.
Quand Marra découvre l’ampleur de la cruauté de Vorling, elle ne peut demeurer simple spectatrice plus longtemps : si elle veut sauver sa sœur et empêcher le sort funeste qui l’attend elle aussi, alors la princesse doit tuer le prince.
Pour mener à bien son plan, il lui faudra recruter des alliés hauts en couleur : une sorcière capable de parler aux morts et sa poule possédée par un démon, un honorable chevalier en disgrâce et une fée marraine particulièrement douée pour les malédictions.
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