The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Rencontre avec Olivier Paquet à Marseille


Rencontre hier après-midi avec Olivier Paquet qui était interviewé par le libraire des Voix des Chapitres sur l'ensemble de son œuvre à l'occasion de la sortie de L'Ost céleste.

Dans ce roman en partie épistolaire de SFantasy qui se veut épique et romanesque, il met en scène un vieux banquier et une jeune reine amenés à se comprendre et à collaborer dans un contexte de tensions et de difficultés. Entre Succession et chute des Médicis, entre fantasy et SF, on y parle d'argent, de banque, de famille et de pouvoir.


Le vieux banquier et la jeune reine, confinés dans leur résidences respectives par les exigences de leur fonction et de leur sécurité communiquent intensément et usent de leur arme majeure, leur intelligence, par laquelle ils gagnent les batailles que d'autres ne sauraient pas mener. In fine, utiliseront-ils l'Ost céleste ? Et qu'en sortira-t-il ?

Commentaires

Roffi a dit…
Intéressant sujet.De plus je ne connaissais pas la série. Dommage j’ai raté Olivier Paquet. Mais je ne manquerai pas d’aller faire un tour dans cette librairie .