Les Esseulées est un western fantastique de Victor Lavalle. Sur les traces d'une jeune femme qui tente de refaire sa vie en dépit d'un terrible secret, il nous entraine dans le rude Montana du début du XXe siècle.
C'est un roman qui commence très bien puis se noie un peu lui-même dans tout ce qu'il veut dire. Dommage.
Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le
Bifrost n° 116, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).
Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible
partout :
1915. Adelaide Henry ne voyage pas sans son énorme malle fermée à clé. Car si la malle s’ouvrait, les gens autour d'elle pourraient bien disparaître. Son terrible secret a causé la mort de ses parents, et la voilà obligée de fuir la Californie. Avec une seule idée en tête – rejoindre le Montana. Elle fait partie de ces « esseulées » souhaitant profiter d’une nouvelle loi facilitant l’accès de la population à la propriété. Mais Adelaide n'est peut-être pas si seule qu’il y paraît. Et son terrible secret contient peut-être la clé de sa survie dans ce territoire hostile.
Conçu par un maître contemporain du fantastique, Les esseulées dépeint un groupe inoubliable d'aventurières sur le point de découvrir l'horreur et la sororité au milieu d’un paysage implacable.
Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :
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