Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

Appleseed - Matt Bell


Appleseed, le premier roman de Matt Bell, sort bientôt à L'Atalante. C'est un texte aussi superbe qu'intelligent. Tu as lu Le ministère du futur, alors tu dois lire Appleseed qui en est l'indispensable complément. Et sinon tu dois le lire aussi.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 114, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Le monde avant les sécheresses incessantes, avant les incendies sans fin, avant les nouvelles infections résistantes aux antibiotiques, avant la montée des mers acides, les tornades et les ouragans. Avant que les sols ne meurent et ne s’assèchent, avant que les masques ne soient nécessaires dans les rues des villes, avant que les extinctions massives n’entraînent l’anéantissement du monde naturel.
C’est le monde qui a été volé. Ce qui suit est l’histoire de la façon dont il a été perdu, de qui nous a coûté quoi, de ce que les coupables ont l’intention de faire avec ce qui reste.
« La raison pour laquelle vous n’avez jamais lu de livre comme Appleseed est qu’il n’y a jamais eu un livre comme Appleseed. Son postulat, son propos, sa forme, sa langue – seul Matt Bell pouvait nous offrir un tel roman. » Stephen Graham Jones
« Que vous l’abordiez comme un avertissement ou une source d’espoir, un mythe ou un plan pour l’avenir, Appleseed est tout ce que la science-fiction devrait être. » The Wall Street Journal

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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