The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Etude en noir (poubelle)


Il est extrêmement rare que j'arrête une lecture au milieu. Au pire, d'habitude, je termine puis explique dans une chronique négative les défauts que j'ai trouvés au livre.

Là, après 200 pages environ, j'abandonne. Souvent mal écrit, peut-être mal traduit (que sais-je ?), absurde sans qu'aucun liant efficace ne vienne jamais rassembler le tout, Etude en noir, à quelques rares moments près, m'a profondément ennuyé.

Ayant souffert à en lire deux tiers, je ne souhaite pas souffrir encore à gloser dessus. Cette chronique se termine donc là, sur un avertissement : Keep Out !

Commentaires

Roffi a dit…
Vous aviez déjà lu des romans de cet auteur ?
. Je l’avais vu chroniqué par ailleurs de façon dithyrambique mais je crois que je vais m’abstenir, ça me paraît confus.
Gromovar a dit…
Oui, beaucoup même. Et j'ai souvent beaucoup aimé.
Mais là ça m'est tombé des mains et c'est une chose rare.
Je le déconseille fortement.