Daryl Gregory : I’m Not Disappointed Just Mad AKA The Heaviest Couch in the Known Universe

Conseil aux nouveaux auteurs : Faites attention quand vous plaisantez en ligne. Imaginez, vous faites une blague sur l’écriture d’une histoire ridicule, quelque chose que vous n'écririez jamais ; ce n'est qu'une bonne blague jusqu’à ce qu’un éditeur en entende parler et vous demande d’écrire cette histoire. Il y a quelques années, sur un site, je disais à quel point Iain Banks était mon écrivain préféré mais que si je devais écrire un space opera, ce serait sur deux fumeurs défoncés qui manquent la guerre interstellaire parce qu’ils essaient de déplacer un canapé d’un bout à l’autre de la ville. Jonathan Strahan est alors intervenu et a dit : Je publierais ça. Ha ha ! Très drôle. Il a alors ajouté : Non, vraiment. Plus tard, on s’est croisés à une convention, et il m’a dit : Alors, cette histoire façon Iain Banks ? Et voilà, c'est fait ! Je sais, c’est une histoire absurde, mais en ces temps sombres... Sachez juste qu’elle a été écrite avec beaucoup d’amour et d’admir

Bloodchild : Octavia Butler dans Bifrost 108


Dans le Bifrost 108, sous une couverture puissante de Guillaume Sorel, il y a, outre toutes les rubriques habituelles qui font du magazine un rendez-vous incontournable, un grand Dossier Octavia Butler, ainsi qu'Enfants de Sang, une nouvelle multiprimée jamais traduite en français que Pierre-Paul Durastanti s'était donné pour mission de faire connaitre aux lecteurs VF. C'est chose faite, dans une traduction de Michelle Charrier.

Je parlais brièvement de ce texte, que je tiens pour l'un des plus puissant que j'ai lus, il y a dix ans déjà. Je déconseille de lire plus que ce que contient ma chro de l'époque avant de commencer la nouvelle.


Encore bravo au Bélial et à PPD pour avoir rendu disponible Enfants de Sang.

Sans oublier Marion Mazauric (interviewée dans le mag) pour tout ce qu'elle a fait jusqu'ici pour la dame.

L'avis de Feyd Rautha

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