Suite de la saga Blackwater avec "La Fortune", après
La Guerre.
Cette chronique, et celles qui suivront pour les numéros suivants, seront
très succinctes. Le but est de ne pas spoiler pour ceux qui n'achèteraient
pas chaque numéro dès sa sortie.
Et quand j'écris courte, ici ce sera très courte (car le risque de spoil
est plus énorme qu'à l’accoutumée).
La guerre finie, une nouvelle période s’ouvre pour les Caskey et la ville de Perdido. Si les commandes militaires refluent, les Caskey, nantis d'un nouveau comptable et gestionnaire de fonds, se découvrent bien plus riches qu'ils ne réalisaient l'être. Un peu abasourdis ils en profiteront, et la ville aussi.
Alors que les générations continuent à descendre le toboggan des ans et de l'âge, les investissements des Caskey, guidés par les deux génies financiers de la famille, se multiplient et se potentialisent. La fortune appelle la fortune, ce tome 5 le prouve de manière éclatante. Jusqu'à l’investissement ultime qui fera passer la famille dans une autre dimension de richesse.
Sur le plan humain, la famille s'éclate en unités fonctionnelles distinctes, une femme est prête à toutes les extrémités pour ne plus avoir à faire à un époux devenu encombrant, un exilé revient à Perdido et se fait une place dans la famille, une grossesse arrive à terme et un accouchement se produit qui changera, radicalement et pour toujours, la donne au sein des Caskey.
Transformé absolument, rassemblé en partie, enrichi au-delà de toute mesure, le clan, dorénavant sous la direction stratégique d'Elinor et la conduite tactique de Miriam, s'apprête à devoir gérer un vrai changement de statut, un très douloureux déchirement, et le retour, horresco referens, de la pluie.
Voilà, impossible de dire plus sans spoiler. Tout ce que j'écris est vrai, tout ce que j’écris est obscur. Dans ton intérêt, lecteur.
Blackwater t5, La Fortune, Michael McDowell
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