Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

Le Créateur de poupées - Nina Allan



"Le Créateur de poupées" est un roman de Nina Allan, réaliste mais pas que. On y lit l'épopée d'Andrew Garvie, parti pour rencontrer son amie épistolaire Bramber Winters dans une maison isolée des Cornouailles. Un voyage au cours duquel il aura, et le lecteur avec lui, l'occasion de réfléchir sur sa différence et de questionner la normalité.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 106, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Andrew, solitaire depuis l'enfance en raison de sa très petite taille, est un créateur de poupées reconnu. Il correspond avec une femme, également amatrice de poupées, Bramber Winters, qui réside et travaille au sein d'un établissement psychiatrique dans les Cornouailles.
À l'origine de leur correspondance - suite à une petite annonce de Bramber un an plus tôt - il y a la curiosité pour la personnalité et l'œuvre d'Ewa Chaplin, une Polonaise célèbre pour ses poupées et, à un degré moindre, pour sa production littéraire. " Ewa Chaplin n'avait pas peur de fabriquer des poupées qui n'étaient pas réconfortantes.
Apparemment elle savait que les poupées sont des personnes, exactement comme nous. " Quand Andrew décide de rendre visite à Bramber, sans la prévenir, il ne lui a pas encore fait part de son handicap. Il pressent qu'elle-même ne lui a peut-être pas tout dit sur sa situation...

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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