Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

La première sélection du GPI 2022 (avec chroniques)


Comme chaque année revient la première sélection du GPI.

Coup d'œil (extraits) et rappel de chroniques.


Roman francophone


Trademark, tomes 1 à 3, de Jean Baret (Le Bélial’)

Téké de Mika Biermann (Anacharsis)

Appartement 816 d’Olivier Bordaçarre (L’Atalante)

Le Sang de la Cité de Guillaume Chamanadjian (Aux forges de Vulcain)

Citadins de demain de Claire Duvivier (Aux forges de Vulcain)

Nous sommes les chasseurs de Jérémy Fel (Rivages)

Vivonne de Jérôme Leroy (La Table ronde)

La Nuit du faune de Romain Lucazeau (Albin Michel)

Le Grand Jeu de Benjamin Lupu (Bragelonne)

La Séquence Aardtman de Saul Pandelakis (Goater)

Feminicid de Christophe Siébert (Au diable vauvert)

Celle qui sait de Laurence Suhner (L’Atalante)


Roman étranger


Les Maîtres enlumineurs, tomes 1 & 2, de Robert Jackson Bennett (Albin Michel)

Andrea Cort, tomes 1 & 2, d’Adam-Troy Castro (Albin Michel)

Vorrh, tomes 1 & 2, de Brian Catling (Fleuve)

La Monture de Carol Emshwiller (Argyll)

Notre part de nuit de Mariana Enriquez (Le Sous-sol)

Gnomon, tomes 1 & 2, de Nick Harkaway (Albin Michel)

Les Dix mille portes de January, d’Alix E. Harrow (Hachette)

Klara et le soleil de Kazuo Ishiguro (Gallimard)

Cantique pour les étoiles de Simon Jimenez (Nouveaux Millénaires)

Lazare attend de James Morrow (Au diable vauvert)

L’Interdépendance, tomes 1 à 3, de John Scalzi (L’Atalante)


Nouvelle étrangère


Friday Black (recueil) de Nana Kwame Adjei-Brenyah (Albin Michel)

Les Tambours du Dieu noir de P. Djèlí Clark (L’Atalante)

Ring Shout de P. Djèlí Clark (L’Atalante)

Comme ce monde est joli de Karen Joy Fowler (La Volte)

La Fièvre de Steve de Greg Egan (Bifrost n° 101)

Fournaise de Livia Llewellyn (Dystopia)

Les Anges de Johannesburg de Yûsuke Miyauchi (in La Machine à indifférence, Atelier Akatombo)

Tous les noms qu’ils donnaient à Dieu d’Anjali Sachdeva (Albin Michel)

Ormeshadow de Priya Sharma (Le Bélial’)

Le Livre écorné de ma vie de Lucius Shepard (Le Bélial’)

La Fille en lambeaux de Hirotaka Tobi (in La Machine à indifférence, Atelier Akatombo)

Dernières nouvelles de William T. Vollmann (Actes Sud)


Traduction : Prix Jacques Chambon


Mikael Cabon pour L’Interdépendance, tomes 1 à 3, de John Scalzi (L’Atalante)

Patrick Couton pour Le Livre de Koli de M.R. Carey (L’Atalante)

Benoît Domis pour Andrea Cort, tomes 1 & 2, d’Adam-Troy Castro (Albin Michel)

Pierre-Paul Durastanti pour Au carrefour des étoiles de Clifford D. Simak (Nouveaux Millénaires)

Gilles Goullet pour Un Souvenir nommé empire d’Arkady Martine (Nouveaux Millénaires)

Mathilde Montier pour Les Tambours du Dieu noir et Ring Shout de P. Djèlí Clark (L’Atalante)

Anne Plantagenet pour Notre part de nuit de Mariana Enriquez (Le Sous-sol)

Hélène Fournier pour Tous les noms qu’ils donnaient à Dieu d’Anjali Sachdeva (Albin Michel)

Laurent Philibert-Caillat pour Les Maîtres enlumineurs, tomes 1 & 2, de Robert Jackson Bennett (Albin Michel)

Commentaires

Gromovar a dit…
Baroona j'ai perdu ton commentaire. Reposte si tu veux ;)
Gromovar a dit…
Bon, si j'ai bien compris le peu que j'ai eu le temps de voir

En VF, les autres que j'ai lus sont tous très bons ; j'ai néanmoins une vraie amitié pour Feminicid (et ça serait si audacieux pour le jury de récompenser un roman aussi propice aux trigger warnings)

En VO, je serais bien embêté entre Vorrh, Notre part de nuit et Gnomon. Si je devais absolument voter je crois que je voterais pour Gnomon et sa brillante construction en regrettant de n'avoir pas vôté pour la maitrise de Notre part de nuit.
Baroona a dit…
C'est exactement ce que je te demandais, tu as l'oeil vif. =P