Daryl Gregory : I’m Not Disappointed Just Mad AKA The Heaviest Couch in the Known Universe

Conseil aux nouveaux auteurs : Faites attention quand vous plaisantez en ligne. Imaginez, vous faites une blague sur l’écriture d’une histoire ridicule, quelque chose que vous n'écririez jamais ; ce n'est qu'une bonne blague jusqu’à ce qu’un éditeur en entende parler et vous demande d’écrire cette histoire. Il y a quelques années, sur un site, je disais à quel point Iain Banks était mon écrivain préféré mais que si je devais écrire un space opera, ce serait sur deux fumeurs défoncés qui manquent la guerre interstellaire parce qu’ils essaient de déplacer un canapé d’un bout à l’autre de la ville. Jonathan Strahan est alors intervenu et a dit : Je publierais ça. Ha ha ! Très drôle. Il a alors ajouté : Non, vraiment. Plus tard, on s’est croisés à une convention, et il m’a dit : Alors, cette histoire façon Iain Banks ? Et voilà, c'est fait ! Je sais, c’est une histoire absurde, mais en ces temps sombres... Sachez juste qu’elle a été écrite avec beaucoup d’amour et d’admir

Utopiales 2021 - Bilan avant fin 3

 


Bon, disons-le, mauvais calcul de dates, départ bien avant la fin, timing foiré. Voilà. Pas bien gazé. Du coup, on récapitule ici alors que le festival n'est même pas fini. Mais l'édition 2021 des Utos était vraiment réussie, elle.

En ces temps de Covid qui impliquèrent pass sanitaire, masques, et jauges, restait un espace de liberté dans la Cité. Le Bar de Madame Spock, la cantina locale, fonctionna à plein régime pendant l'événement. Innocents visiteurs assoiffés ou affamés et freaks du milieu en réunion de famille s'y croisèrent et s'y entrereniflèrent.
Le Bar c'est la Croisette, il faut y être, y voir, y être vu. Le Bar c'est aussi Le Carrefour des étoiles, le lieu où se rencontrent et conversent les tribus éparses de la SFFF, toutes venues de Kobol.



A suivre...

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