The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

NOUVEL AN ISOLÉ


APRES UN RÉVEILLON DISTANCIÉ DE HAUT VOL,  JE POUSSAI ENCORE PLUS LOIN LES GESTES BARRIÈRES EN M'ISOLANT COMPLÈTEMENT SUR UNE ILE DÉSERTE POUR Y PASSER LE NOUVEL AN.

LÀ, EN LA COMPAGNIE NON CONTAMINANTE DE WILSON, JE M'APPRÊTAI À PASSER UNE SOIRÉE DE FÊTE INOUBLIABLE.

LE LIEU PARAISSANT SÛR ET EXEMPT DE COMPLOTISTES ANTIVAX, JE DÉCIDAI D'Y RESTER JUSQU'À L'ARRIVÉE DU TOUJOURS PLUS LOINTAIN VACCIN COVID.

CYA !

Commentaires

Christian a dit…
Je vois que vous êtes déjà rentré de Sibérie.
Bon réveillon quand même et a l’an que ven ,c’est à dire demain.
Merci pour cet humour.