Contexte oriental encore mais pas japonais cette fois.
Le texte, court, met en scène Lha-Mi, une jeune novice du monastère de Bainalung qui s'entraîne dur pour devenir une guerrière d'élite appelée à rejoindre le palais impérial et les rangs de la Première Garde de l'Empereur. Un parcours martial et sélectif qui dure des années.
Quel choix fera-t-elle ?
Et qu'advient-il de celles qui renâclent, rejoignant par leur attitude le rang des
dzums (ces femmes monstrueuses et maudites dont le nom vient de celui que porte les femelles bâtardes de yak et de vache).
Je n'en dis pas plus pour ne pas trop spoiler un texte court.
Dans "Le deuxième sang", Querbalec met en lumière un dilemme, assez courant, qui parlera aux femmes cadres d'Apple ou Facebook par exemple.
Il permettra à ceux qui n'ont pas compris un passage clef de
La guerre du pavot de peut-être, enfin, comprendre ce qu'il signifie.
Je ne comparerai pas l'histoire de la nouvelle et celle du roman, deux objets dissemblables ; en revanche je trouve le style inférieur ici, alors, s'il n'est pas assez à votre goût, que ça ne vous empêche pas de lire le roman, vous ne serez pas déçu.
Le deuxième sang, Emilie Querbalec
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