The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

GPI 2020 : les lauréats (et leurs chroniques)



VOICI QU'ARRIVE LE TEMPS DES LAURÉATS DU GPI 2020.


ROMAN FRANCOPHONE

LES FURTIFS, ALAIN DAMASIO


ROMAN TRADUIT

VITA NOSTRA, MARINA ET SERGUEÎ DIATCHENKO, trad Denis E. Savine


NOUVELLE FRANÇAISE

HELSTRID, CHRISTIAN LÉOURIER


NOUVELLE TRADUITE

LES MEURTRES DE MOLLY SOUTHBOURNE, TADE THOMPSON, trad. Jean-daniel Brèque


MEILLEURE TRADUCTION

MICHELLE CHARRIER POUR TROP SEMBLABLE À L'ÉCLAIR de Ada Palmer


MEILLEUR ESSAI

JE SUIS PROVIDENCE, S. T. JOSHI, dix traducteurs


Commentaires

Verti a dit…
Les Furtifs en tant que phenomene editorial et dernier opus d'un auteur qui a marque la scene SFFF francaise, je peux comprendre. Mais le bouquin en lui-meme n'est pas une grande reussite. Franchement, Damasio, a part la Horde du Contrevent...
Verti
Gromovar a dit…
Tu vois que je ne l'ai même pas chroniqué, tellement ce qu'il fait depuis ds années m'indiffère.