Fables 7 - Willingham - Buckingham

Sortie du tome 7 de l’ Intégrale Fables dans la collection Urban Nomad. Les fils ouverts dans le tome précédent vont vers leur conclusion ici. La lutte contre Mister Dark se poursuit, de la part bien sûr de tous les Fables réfugiés à la Ferme – qui vont ensuite devoir se replier encore plus loin pour ne pas succomber au maître de la peur –, mais surtout de la part, singulièrement, d’une Frau Totenkinder qui a fait de l’élimination de l’arch-ennemi sa priorité – au point de laisser la direction des forces magiques de Fableville à la jeune Ozma. Mais d’abord, pour pouvoir guider les Fables de la Ferme vers un avenir où ils survivraient alors que le Mal menace et que les dissensions se répandent sous l’influence d’un culte étrange, Rose Rouge doit sortir de la dépression causée par la perte de son amour. Pour cela, une force extérieure à la Ferme lui permet de revivre son enfance et sa relation compliquée avec sa sœur Blanche Neige – dont on apprend que la vie fut bien plus difficile qu

Les Affaires du club de la rue de Rome - Adorée Floupette


"Les Affaires du club de la rue de Rome" est un fix-up fantastique Belle Epoque de l'improbable Adorée Floupette. En quatre novellas, le recueil nous fait visiter le Paris mystérieux et fantastique de la fin du XIXe en compagnie d'Alexandre Mallarmé, "le prince des poètes", et de tous ses acolytes artistes, parmi lesquels Oscar Wilde, Rachilde, Ninni Patte-en-l'Air, ou encore l'érotomane Pierre Louÿs.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 98, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).
Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Paris, 1891. Au rythme des fiacres et des remous anarchistes, sous la direction du magnificent M, un cercle d'écrivains enquête sur d'inquiétants phénomènes qui agitent la capitale. Silhouettes chimériques ou peintures macabres, spectres ou épidémies sordides, l'empreinte du Mal trouble cette fin de siècle déjà ombrageuse. Qu'ils se nomment Berthe Weill ou Octave Mirbeau, qu'ils poétisent comme Pierre Louÿs ou invoquent Arthur Rimbaud, ces membres du Club de la rue de Rome traquent la vérité et la malévolence. Et dans leur sillage, c'est tout un labyrinthe surprenant et horrifique qui s'ouvre dans l'ombre de la Ville lumière.
Adorée Floupette aurait été l'une des plus grandes plumes de la fin du XXe siècle si la postérité ne l'avait si injustement oubliée. D'une modernité sans égale pour son époque, son oeuvre renaît aujourd'hui grâce à ces Affaires uniques en leur genre, aux confins du surnaturel.
 

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :


Commentaires

Montag a dit…
Dommage, j'aurais aimé lire ton avis sur le texte de Raphaël Eymery qui a choqué la Salle 101 (http://emission.salle101.org/?p=2038)...
Gromovar a dit…
En un mot : Excellent.
Sûrement le meilleur des quatre.
Montag a dit…
Merci pour ton avis. Je me situerais entre les deux : pas choqué, mais j'ai préféré le ton plus léger des textes de Luvan et Léo Henry. ;)
Gromovar a dit…
Pas accroché du tout à luvan. Bien aimé les deux autres.