Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

Horror - Dario Argento


"Horror" est le premier recueil de nouvelles sop-horrifiques du réalisateur italien Dario Argento.
Il aurait sans doute mieux fait de s'en tenir au cinéma. Une satisfaction toutefois, sa lecture ne causera aucun Syndrome de Stendhal.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 96, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).
Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Horror est un recueil de six nouvelles arpentant les territoires du thriller, du gothique, de l'ésotérisme, du monstrueux et de l'onirique. Le macabre règne, l'inattendu surgit, le mystère insiste.
L'histoire d'ouverture se déroule dans la Galerie des Offices de Florence où les oeuvres exposées s'animent. Si « Rouge pourpre à la Bibliotheca Angelica » est un cauchemar dans le style de L'Oiseau au plumage de cristal, la « Villa Palagonia » constitue un étrange voyage à l'intérieur de la célèbre Villa dei Mostri, en Sicile. Dans « Le Secret de Merano » reviennent les atmosphères hantées de la trilogie des Mères. Une autre nouvelle suit Gilles de Rais, ses obsessions nécromantiques et ses horreurs commises sur les enfants. Et le recueil se clôt avec les monstres des îles de Singapour.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

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