The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Idées cadeau à l'arrache 2018

Olivier Ledroit

Ami lecteur, Noël arrive et tu n'as peut-être pas de cadeau à offrir à tes proches.  Qu'importe, ta simple présence est en soi un cadeau magnifique.

Si, néanmoins, tu voulais amputer encore ton pouvoir d'achat en sacrifiant à la tradition d'offrir un présent de faible valeur monétaire aux membres les meilleurs de ton entourage, voici quelques idées, quelques livres aussi importants qu'excellents, et qui, contrairement aux fleurs, ne sont pas périssables.

Assortiment subjectif, circonstanciel, et non trié, en forme de guirlande
(cliquer le lien pour aller vers la chronique)














AND THAT'S ENOUGH NOW
I'M TIRED OF ADVISING

Commentaires

Tororo a dit…
C'est bien, vous avez amplement mérité une pause-bûche.
chéradénine a dit…
Merci pour ces recommandations. Je n'ai lu que la BD [et je ne lis quasi-exclusivement que des BD depuis trop longtemps] qui m'a permis de véritablement découvrir le Conan de Howard, n'ayant d'ailleurs vu le très célèbre film. J'ai trouvé cette dernière sympatoche notamment grâce à son paratexte, mais sans plus je l'admets: peut-être le côté nouvelle pulp où tout semble résumé, même s'il y a un véritable art de la concision à l'oeuvre, je suppose. Howard et sa créativité semblent tout à fait passionnants, et j'ignorais qu'il s'était suicidé. Son physique imposant contribuait à me le rendre intrigant, de même que sa correspondance avec Lovecraft, qui louait son univers créatif pourtant si différent du sien.

Je te souhaite une belle année 2019 pleine de lectures !
Gromovar a dit…
Un personnage très intéressant Howard. Bon bouquin de Louinet sur l'homme, aux Editions ActuSF.

Bonne année à toi aussi, et merci pour les commentaires fréquents.