Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

Faute de temps - John Brunner

"Faute de temps" est une très bonne novella de John Brunner, adapté à la télévision britannique, qui illustre par une intrigante enquête l'une des craintes de son temps.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 80, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Comme il est TRES important de ne pas se spolier ce texte, je ne donne pas plus que ça :
Une nuit, Max Harrow est arraché brutalement à un cauchemar par la sonnerie de la porte d’entrée. Un agent de police vient de secourir dans la rue un homme inconscient, à la maigreur effroyable...
En 1963, John Brunner imagine un monde hanté par le ressentiment des générations futures. 

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

Commentaires

arutha a dit…
Comment ça un John Brunner dont je n'avais jamais entendu parler ? Bon, en même temps, les novellas ne sont pas ma littérature de prédilection.
Gromovar a dit…
Là, tu peux y aller. C'est court et rafraichissant comme une bonne glace.