The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Le syndrome indigo - Clemens J. Setz


"Le syndrome indigo", du Mozart de la littérature autrichienne Clemens J. Setz, est très déroutant, mais superbe. Comme un excellent alcool bu en trop grande quantité.

« Et tout autour de lui, d'innombrables mouches à fruit, comme une maladie de peau de l'air » Si tu ne peux résister à cette phrase, viens !

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 77, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

En Autriche existe une école internationale pour les enfants souffrant d’un dérangement très singulier, le syndrome indigo. Dès leur naissance, les « enfants indigo », dotés de capacités suprasensibles, causent à leurs proches des troubles inexpliqués : vertiges, vomissements, violents maux de tête. Clemens J. Setz, jeune mathématicien, enseigne dans cette école et remarque que des élèves, déguisés d’étrange façon, partent en voiture pour une destination inconnue et ne reviennent plus. Setz se met à poser des questions sur ce que la direction de l’école appelle pudiquement des relocalisations, mais il est aussitôt remercié. Quinze ans plus tard a lieu le procès très médiatisé d’un ancien professeur de mathématiques accusé d’avoir tué un homme qui torturait des animaux.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



Commentaires

Plume a dit…
Pas besoin d'en dire plus, je le note direct ! Je lirai tout de même ta critique quand elle sortira hein ^^
Gromovar a dit…
J'espère bien ;)