The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

La vengeance du steak salade


Manifest Destiny TPB 1, intitulé "Flora and Fauna", de Dingess, Roberts, Gieni.
Début du XIXème siècle. Une expédition secrète est envoyée vers l’Ouest inconnu par le Président Jefferson afin d’explorer le pays et de combattre les monstres qui s’y trouvent.

Ben c’est pas fameux.

Un salmigondis d’independance-war fantasy avec minotaures-bisons carnivores et plantes zombifiantes. De beaux dessins et d’autres moins, des couleurs trop saturées, des personnages dont aucun n’éveille l’intérêt, et une intrigue ultra linéaire qui ne surprend jamais ni surtout ne suscite le moindre frisson.

Inutile.

Manifest Destiny t1, Flora and Fauna, Dingess, Roberts, Gieni.

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