The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Bof !

La collection e-baskerville, dirigée par Jean-Daniel Brèque, édite ou réédite, sous forme numérique, des romans ou nouvelles de « L’Age d’or des conteurs », entre 1880 et 1914. On y trouve des récits fantastiques ou policiers, simples dans leur narration et riches tant en figures marquantes qu’en rebondissements. La patte est caractéristique de l’aventure telle qu’on la concevait à l’époque victorienne. Ca se lit vite, avec plaisir, et facilement.


"La vengeance du mort", le titre dit tout. Et il n'y a pas plus, hélas. Trop court, trop direct, trop évident. L'intérêt du, court, texte est faible. On regrette qu'il ne soit pas à la hauteur de la très belle couverture.

La vengeance du mort, Robert Barr

Commentaires