The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

A éviter


L'origine originale du Dr Strange devait faire trois pages en noir et blanc. Elle m'a toujours semblé d'une clarté limpide.

Marvel nous propose ici une mini-série de Straczynski et Peterson qui utilise beaucoup de mots et plus encore de dessins pour expliquer moins bien la même chose, dans une sorte de crise de diarrhée scénaristique et graphique.

Tellement inutile que Marvel a sorti, après coup, cette mini-série de la continuité. Pas étonnant. Je regrette que l'oeil d'Agamotto ne m'ait pas permis de lire ce comic avant de l'acheter.

Strange, Le début et la fin, Straczynski, Peterson

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