The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Bofthagn


Que dire de cette inutile pochade ?

La couverture est jolie.

Moi, Cthulhu, Neil Gaiman

Commentaires

Unknown a dit…
Alors là, clair net et précis ! Je pense n'avoir jamais lu un billet aussi court et aussi explicite à la fois ! x)
Gromovar a dit…
N'est ce pas ?
Vert a dit…
Au moins si c'est un mouchoir signé Neil Gaiman, c'est un joli mouchoir :D
Lhisbei a dit…
attends, attends, que je comprenne bien ton propos : le mot clé ici c'est "joli" ou "inutile" ? Pff Gromovar tu pourrais faire un effort pour les visiteurs de ton blogs qui n'ont pas deux neurones et rendre tes billets moins obscurs hein
Gromovar a dit…
Le mot clé c'est Ftaghn ;)