Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
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Commentaires
Content pour Thomas Day, pour l'excellent Bacigalupi, et pour la nouvelle de Ian McDonald.
Je suis quand même surpris pour le prix de la traduction. Sara Doke a fait un excellent travail, je ne remets pas du tout ça en cause, mais la traduction de Enig Marcheur quand même (je ne l'ai pas lu, donc je ne suis pas le mieux placé pour juger ceci dit...)... C'est une surprise, et tant mieux pour Sara ! ;)
Sinon, sur un tout autre registre, j'ai lu "La Religion des seigneurs". Vraiment intéressant et bien construit.
Verti de Shanghai
Sur le fait que l'édition française s'autocongratule, c'est la base (regrettable) de tout prix professionnel me semble-t-il.
Je vais aller jeter un oeil à "La religion des seigneurs".
Verti