The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

We'll meet again (or not)


Parce que c'est le meilleur film du monde (avec Full Metal Jacket).
Parce que c'est l'une des plus belles scènes du monde.
Parce que c'est la meilleure fin de film du monde.
Parce que c'est approprié.

"We'll meet again" (Vera Lynn), fin de Dr Strangelove
(dont le titre complet, approprié aussi, est : How I stopped worrying and learned to love the Bomb)

Commentaires

Efelle a dit…
Ka boom ! J'aime beaucoup aussi.

Les Fallout ont empruntés l'ambiance sonore de ce final pour leurs intros, non ?
Mouais, pas sûr qu'une fin atomique soit la meilleure.
Gromovar a dit…
@ Efelle : J'en ai des frissons à chaque fois. Oui pour les Fallout

@ Loic : Je voulais dire la meilleure fin de film :)
Guillmot a dit…
"The End of Evangelion" fait une belle B.O. également.
Gromovar a dit…
Faut que j'aille voir.