Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
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Commentaires
(faut vraiment que je me prenne un abonnement DVD à la bibliothèque pour ce genre de films...)
En tout cas, bon vol :D
tu as vraiment vu ce machin au ciné ? ton dévouement à la cause de la SF est grand. Si tu veux le chroniquer dans le cadre du SSW ne te censure pas hein !
(mais qu'allait faire George Peppard dans cette galère ? payer sa piscine ?)
Hum, pardon.
Je ne crois pas que j'aurai le courage de le chroniquer ;)