The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

FUCK ME DEAD RAY BRADBURY, AND RIP BTW


Ray Bradbury, grand ancien et maitre tutélaire de la SF, est mort hier à l'âge de 91 ans, soit 1011011 années binaires ou 5B années hexa.

La Terre, sur laquelle il vivait, tournant autour du soleil  en un an suivant une ellipse de 940 millions de kilomètres, il aura parcouru assis sur ses fesses environ 85,540 milliards de kilomètres, soit 0,9 % d'année-lumière. En 91 ans ! On est encore loin du FTL drive. So bad !

Ayant peu lu de lui, et il y a longtemps, je laisse les analyses à d'autres ; je livre simplement une anecdote : Ray Bradbury, l'homme des Chroniques martiennes, avait une peur panique de l'avion, qu'il ne prenait que légèrement gris voire complètement saoul, et a donc préfacé le livre "Vaincre sa peur en avion" de MC Dentan. La vie a de ces ironies.

Il aura eu, sur ses vieux jours, l'occasion de fucker la très amusante rachel Bloom, qui a fait don de son corps à la SFFF comme peu de blogueuses osent le faire. It's good to be the king, even the king of SFFF.


RIP RAY. Cya on Mars.

Commentaires

Efelle a dit…
Un grand ancien tire sa révérence.
Ses écrits restent...
Gromovar a dit…
La chose la plus proche de l'immortalité.
La Mettrie a dit…
La littérature, plus forte que Highlander.
La SF est en deuil.
Elessar a dit…
Ho putain, merde!!
:(
arutha a dit…
Il a donc fini par aller planter des arbres sur Mars, l'auteur de l'une de mes premières et plus grandes émotions science-fictionnesque ...
Gromovar a dit…
Espérons que la récolte est bonne.