The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

L'incorruptible de Peyrebelle


Nouvelle bonne livraison des Editions Fei avec ce tome 4 des aventures du Juge Bao, personnage historique chinois vénéré pour sa lutte contre la corruption et son soutien incessant aux plus misérables de l'Empire du milieu. Enlèvements crapuleux, vente illicite de femme, escroquerie des spéculateurs, le juge a fort à faire dans cet épisode.
Anudar en parle tellement bien sur son blog que je n'ajoute rien à ce qu'il a écrit et que je vous invite à vous y reporter. J'ajouterai simplement qu'un truculent film de Claude Autant-Lara avec Fernandel raconte l'histoire de l'auberge rouge d'Ardèche, et je signale aux touristes qu'on peut, encore aujourd'hui, visiter l'auberge dans son état d'origine ; on peut même y voir une mauvaise copie de la guillotine qui a servi a exécuter les aubergistes devant même leur établissement.
Le juge Bao et l'auberge maudite, Marty, Nié

Commentaires

Anudar a dit…
Merci pour ce lien qui, plus qu'un lien, est une véritable recommandation :) ...
Anudar a dit…
Merci malgré tout !

A ce sujet, l'un des auteurs de la BD a publié un commentaire à ma chronique.