Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

L'incorruptible de Peyrebelle


Nouvelle bonne livraison des Editions Fei avec ce tome 4 des aventures du Juge Bao, personnage historique chinois vénéré pour sa lutte contre la corruption et son soutien incessant aux plus misérables de l'Empire du milieu. Enlèvements crapuleux, vente illicite de femme, escroquerie des spéculateurs, le juge a fort à faire dans cet épisode.
Anudar en parle tellement bien sur son blog que je n'ajoute rien à ce qu'il a écrit et que je vous invite à vous y reporter. J'ajouterai simplement qu'un truculent film de Claude Autant-Lara avec Fernandel raconte l'histoire de l'auberge rouge d'Ardèche, et je signale aux touristes qu'on peut, encore aujourd'hui, visiter l'auberge dans son état d'origine ; on peut même y voir une mauvaise copie de la guillotine qui a servi a exécuter les aubergistes devant même leur établissement.
Le juge Bao et l'auberge maudite, Marty, Nié

Commentaires

Anudar a dit…
Merci pour ce lien qui, plus qu'un lien, est une véritable recommandation :) ...
Anudar a dit…
Merci malgré tout !

A ce sujet, l'un des auteurs de la BD a publié un commentaire à ma chronique.