Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
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Commentaires
Bon faut que j'aille me l'acheter demain... Pfff...
Ça m'a l'air bien sympathique cette bd.
Pour ce qui est du gore, ça ne me dérange jamais, au contraire. J'ai trop eu l'habitude des héros qui combattaient sans sang ni bleus et je suis content du virage adulte de l'édition (quand on plante des griffes de métal dans le ventre d'un gars, ça saigne, et fort, ou alors il faut raconter des histoires de Flash qui règle tout à coup de poings ou de tourbillons venteux).
Pour le dernier épisode, je pense que Millar a voulu satisfaire le fandom et leur rendre Wolverine. Ce n'était effectivement pas indispensable mais ça ne m'a pas géné outre mesure.
Le dernier épisode coulait de source, un bon défouloir.
Vais aller éditer mon billet pour l'indexer au challenge.