The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Je suis le ténébreux, le veuf, l'inconsolé

J'ai reçu, il y a peu, un colis, apporté par la mer, de la fascinante Loula. A l'intérieur, il y avait de nombreux objets propres à ravir le corps et l'esprit, ainsi qu'une missive et une photo.



En partance pour la vallée de Gwangi, où elle espérait chasser le dinosaure en compagnie d'autres cowboys O_o, la jeune mais brave Loula m'envoyait ce qui serait peut-être son dernier cadeau. Il y avait le récit de ses précédentes aventures dans Le monde perdu sous la mer, et en Atlantide, du café du Guatémala (ramené, je l'imagine, d'un voyage), un fabuleux champignon magique de l'espèce de celui que croqua Alice, ainsi qu'une photo que je chérirai jusqu'à mon dernier souffle. On y voit bien que la jeune Loula n'est pas seulement courageuse mais aussi d'une très grande beauté.



Je prie pour la réussite de son expédition cynégétique au Gwangi, et espère qu'elle me reviendra couverte de gloire afin que nous puissions de nouveau siroter un café guatémaltèque dans mon patio face à la mer.

Commentaires

Loula a dit…
Mon voyage se poursuit en effet, pour l'instant sans encombres et la liaison internet est bonne aux abords de la vallée de Gwangi, j'espère rencontrer- et capturer- bientôt des dinosaures en plastique fluo, euh, non, venus d'une autre époque, et vous raconter bientôt mes aventures...
Gromovar a dit…
Bon et prompt retour, chère amie.
Lhisbei a dit…
Contente de voir que ce colis est arrivé à bon port après ce voyage houleux :)
Gromovar a dit…
Le Gwangi, c'est loin.