The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Norbert Merjagnan : skalde et hyper platonicien


Aujourd'hui j'ai la grande joie de recevoir Norbert Merjagnan. Il a été un espoir avec Les Tours de Samarante, il confirme avec Treis, altitude zéro.
Styliste hors pair, il crée (rêve ?) un monde complexe et brutal en route pour un changement radical. A découvrir, si ce n'est déjà fait.

1) Bonjour Norbert, merci de nous recevoir. Après « Les tours de Samarante », c’est maintenant « Treis altitude Zéro » qui est sur les rayons. Peux-tu nous raconter ta perception du chemin parcouru entre le jour où tu as posté le manuscrit des Tours et aujourd’hui ?

Bonjour Gromovar, merci à toi.
Le chemin parcouru se résume avant tout par ma rencontre avec Gilles Dumay. Je lui dois la découverte et la publication de mes livres. Il a eu pour mes récits une lecture pertinente et passionnée. C'est un éditeur exceptionnel. Et avec le recul, c'est d'abord lui que je vois.

2) Que faisais-tu dans ta première vie ? Quel est l’emploi du temps d’un auteur ? Est-il difficile de travailler sans la contrainte d’une organisation ?

J'ai travaillé dix ans au siège d'une banque. J'y ai beaucoup appris. La nature volatile, quasiment virtuelle, de l'argent. Le vrai visage de la puissance. Les banques sont autre chose que des entreprises. Elles sont le cœur de ce monde et en même temps un univers discret, un système où l'argent est un code : un code de pensée, un code social et un code informatique. Ce fut une excellente école.
Concernant ta question sur le temps, j'imagine que chaque auteur fait avec, comme il peut. Écrire nécessite pour moi une immersion. C'est un temps séparé. Long. J'ai quelquefois du mal à le conjuguer avec les autres temps de ma vie.

3) Peux-tu décrire brièvement le monde des cités pour ceux qui ne t’auraient pas encore lu ? Quels en sont les enjeux ?

C'est un univers monde. Je crois que le mieux, c'est d'y entrer...
Je ne saurais pas en parler autrement que par mes écrits.

4) Comment as-tu imaginé cet univers ? Es-tu rôliste ?

Je n'ai pas le sentiment de l'avoir imaginé. Il m'est apparu, par touches. Comme s'il s'agissait d'un échange avec un correspondant lointain. Au fil des messages, tu découvres une personnalité, une culture, des anecdotes, des gens que tu n'as jamais vus mais qui te deviennent intimes. Ce monde est là. Ailleurs.
J'ai été rôliste durant une douzaine d'années. J'ai d'ailleurs mené des parties à Samarante, à Treis, avec un petit cercle d'amis, il y a longtemps. Et dans bien d'autres lieux, d'autres époques. Le jeu de rôle était un laboratoire et un vivier, fertile en créations bizarres et toutes sortes de choses réjouissantes !

5) Ton monde est très visuel, presque BD, mais ton style oscille entre de la description très précise (que je nommerais à la française) et des successions impressionnistes et agrégatives de flashes (à l’anglaise). Lis-tu les deux langues ? Si oui, crois-tu que l’anglais s’invite parfois dans ton français ?

J'ai étudié un an dans une université de l'État de Washington. Je lis parfois en anglais. Pourtant… mon affinité profonde va à la langue française. Une langue complexe, minutieuse, parfois à la limite du pointillisme, mais aussi dense et souple. Et on peut la tordre ! Rien ne l'interdit. Notre langue permet tout pour peu qu'on ose la travailler. Elle peut chanter, rouler, rompre, vibrer, couler, (se) répandre. On la présente faussement comme une vieille dame, subtile et délicate, ancienne. Une aristocrate. Moi, je vois une femme puissante et audacieuse. Vive et sauvage. Je ne ressens pas le besoin d'aller chercher des formes innovantes ou percutantes dans un autre idiome.
Peut-être a-t-on pris de mauvaises habitudes à cet égard.

6) Ton style peut ressembler à une femme tellement belle qu’on l’admire sans oser l’approcher. Des lecteurs t’ont-ils dit avoir été tenus à distance de l’histoire par le style ? Comment doses-tu l’équilibre entre l’image et le récit ? Fais-tu beaucoup relire ?

Ce que tu dis sur la beauté de ce style mais aussi de sa mise à distance me donne énormément à réfléchir. Je n'ai pas de réponse. Si ! Des lecteurs m'ont dit avoir été rebuté par mes formes écrites. J'assume. Heureusement, d'autres lecteurs plongent ! Je suis exigeant dans mon travail. Et je bannis les lieux communs. Les lieux communs sont pourtant des véhicules très efficaces. Sincèrement, je les traque. Je les chasse. Un exemple : l'idée qu'il ne faut pas multiplier les adverbes ou adjoindre plus d'un adjectif à un mot. Le truisme de l'écriture dépouillée… Il est là, le lieu commun ! Parce que certaines phrases appellent trois adverbes, d'autres quatre adjectifs ! Certaines vivent mieux sans verbe du tout. Certaines phrases sont un seul mot. Les règles de savoir-écrire, ce sont des conneries ! Le malheur, c'est que l'empire de ces règles instaure des habitudes de lecture. Des routines. De la banalité. Comme en cuisine : à force de fourguer les mêmes sauces en production industrielle, on modèle le goût à la pauvreté sensorielle. Et puis, on fait d'un idiome une marque ! Je ne me reconnais pas dans tout ça.
Un style, c'est une prise de risque. J'écris sans rien de préconçu. Dans le passage où Triple A se prend pour un tambour, j'avais un rythme dans la tête : tatata-ta-tacatac. Toute la scène est venue avec. D'autres fois, je vois des morceaux de film, des scènes entières en mouvement, et là, je cherche la façon d'écrire au plus juste ces visions telles que je les reçois. Avec leur violence s'il y en a… des zooms, des hachés, des arrêts. Je ne réfléchis pas. Je transcris.
Christine, mon épouse, est la première - et longtemps la seule - lectrice de mes manuscrits.

7) Le monde des cités a été ruiné par les « guerres climatiques ». As-tu des craintes environnementales ou technologiques de cet ordre ?

Je mets bout à bout des tendances très simples, mais lourdes.
Le climat est un phénomène complexe. L'apprentissage et la maîtrise de la complexité, sous toutes ses formes, constituent l'un des enjeux de notre temps et des années qui viennent.
Autre tendance lourde, millénaire : les crédits militaires financent une grande partie de la recherche, surtout au cœur de l'économie-monde dont parlait Braudel, c'est-à-dire là où s'accumulent les moyens. Pour être dominant par la guerre, l'avance scientifique et technologique est cruciale. Cela restera.
Conclusion : maîtrise du climat + recherches militaires = armes climatiques.
Ce n'est, au fond, qu'une question de temps.

8) Dans les cités, pas ou peu de religion mais une science qui en tient lieu. C’est notre monde que tu décris ? Crois-tu qu’à terme la science remplira la fonction religieuse ?

À Treis, Samarante, Trézibène, Léonitra, dans le cœur et l'esprit des gens des cités, le Seuil a remplacé l'église.
Le Seuil est une histoire révélée au même titre que les livres des grandes religions. Mais l'histoire du Seuil présente la particularité de s'écrire au futur. Le calendrier se lit à l'envers. L'an zéro ne signe plus le bouleversement passé d'une révélation divine, il marque l'avenir. C'est une histoire à faire, à naître. Pour parvenir à cela, la science s'est dotée d'une fonction prophétique : elle a révélé l'existence du Seuil, ce moment historique où les humains vont collectivement devenir une nouvelle espèce. La science a aussi revêtu une fonction politique : elle éduque la pensée et gère l'organisation des ressources afin d'atteindre cette finalité qui prévaut sur tout, qui est à la dimension de l'entière humanité.
Voilà pour l'univers de Samarante et de Treis.
Quant à la religion dans notre futur, c'est un thème que je souhaite aborder dans un prochain roman.

9) Ta vision de l’élite est très noire. Point de salut hors du peuple représenté par Triple A ?

Les banques viennent de baiser 95 % de l'humanité, d'endetter des États par transfert de signatures pourries en signatures cotées reposant sur l'impôt et des biens publics ! Les puissants sont en train de démolir les classes moyennes. Tout cela se passe dans une ambiance propagandiste que l'Internet libertaire chahute mais ne parvient pas à renverser - il faut dire que cela fait longtemps que le marketing a intégré les messages radicaux et (r)évolutionnaires dans les circuits marchand et publicitaire, procédant par vaccination et créant une immunité aux vecteurs actifs de progrès.
L'élite dirige, profite. Et pourquoi pas ? La vraie question est : pourquoi l'élite se passerait-elle de diriger et de profiter ?
Je n'ai aucune illusion sur l'humain. Pourtant, je crois aux chemins de liberté. Ils sont rares, autant que les individus qui les prennent. Malgré tout, ils existent. Et c'est sûrement le plus étonnant.

10) Dans les cités, la science dominante est la génétique. Si la science proposait de modifier le génome humain, serais-tu du côté des volontaires ou des opposants ?

Volontaire.
Des chercheurs travaillent aujourd'hui sur des modifications génétiques (certaines temporaires, d'autres durables) qui permettraient au corps d'être son propre médecin pour lutter contre le cancer, ce qu'il fait déjà, mais de moins en moins bien à partir de 40 ans du fait de mutations de gènes naturels.
Le véritable sujet de la modification génétique, c'est qui la maîtrise et pour quoi faire. Mais s'opposer en soi à un nouvel outil ? Quelle étrange idée…

11) Finalement, qu’est-ce qui fait un humain pour toi ? L’humanité sous sa forme actuelle devient-elle obsolète comme les codex ou les tablettes d’argile ?

Tout dépend de quel humain on parle. Y a-t-il une seule humanité ? C'est l'un des sujets que j'aborde franchement dans Treis, altitude zéro.
L'humain de la guerre, des viols, des génocides, des tortures, ne me paraît pas obsolète ! Il me paraît indéfendable ! Et je ne l'accepte pas.

12) Une question d’économie un peu vile. Comment un système technologique largement fragmentaire peut-il entretenir le fonctionnement de ses éléments les plus avancés ?

Par une autre maîtrise de la complexité que la nôtre. Aujourd'hui, une ville est un système dépendant de territoires qui lui sont extérieurs, pour son énergie et sa nourriture notamment. C'est un système qui conjugue le réseau et la pyramide. En outre, seule une petite portion des richesses produites est réinvestie dans des activités de recherche.
Dans l'univers des cités mirandiennes, l'économie urbaine s'est autonomisée et la technologie atomisée. Elles s'autogénèrent. Leur forme est beaucoup plus organique. Les lois de leur développement sont proches de celles du vivant.
L'existence d'une culture technologique forte (grâce aux Éducateurs, des modules d'apprentissage de synthèse) rend possible la séparation des sciences en grands corps fondés, non plus, comme aujourd'hui, sur leur champ d'observation, mais sur des paradigmes cognitifs. Ce n'est pas de l'hyperspécialisation - qui caractérise plutôt notre époque - mais une reformulation de la science via ces paradigmes : l'évolution biogénique, la pensée machine, l'économie organique, monopolistique et libérale.
Pour l'autonomisation de l'économie, je te donne un exemple : Cinabre crée une robe, à son goût et à son exacte mesure, à partir d'un matriciel (une boule d'usines nanométriques). Il n'y a plus ni production de matière première, soie ou coton, si usine de filage, ni import-export, ni usine de découpe et façonnage, ni marketing produit, ni marque, ni circuit de vente, ni mode. L'économie de cette robe s'est condensée en deux briques : la création du matriciel ; la capacité technique et culturelle de Cinabre à utiliser ce matriciel selon son choix. Autrement dit : une brique "tension/potentiel" et une brique "libération/formulation". Ces deux briques existent dans le milieu faste des Ordres, mais l'une et l'autre sont absentes des bas-fonds où une économie traditionnelle, archaïque, subsiste. En clair, l'économie-monde de Braudel ne prospère plus à l'échelle de vastes territoires et d'empires marchands, mais à l'échelle de la cité et son cœur est une caste ainsi qu'un mode d'éducation et d'organisation : les Ordres.

13) Guerres climatiques, approche du Seuil, ta vision est très prométhéenne. Que penses-tu de la notion d’anthropocène ?

Je pense que l'homme fait partie de la nature. Et qu'il y a donc une contradiction, dans les termes, à l'en séparer, à l'en distinguer, quelles que soient les réalisations humaines ou leurs effets.
Toute vision anthropocentrique est, en vérité, une conséquence de la pensée religieuse, surtout monothéiste. Séparer l'homme de la nature, c'est lui conférer une nature propre, dont l'essence et l'origine ne peuvent être que divines (l'homme à l'image de dieu). Or, si l'homme appartient à la nature, s'il est un élément de la nature, tout ce qu'il fait, construit, bâtit, détruit, est naturel. Même si cela choque la représentation, là encore religieuse, de la nature dans la pensée d'aujourd'hui.


14) « Chair-homme » chez toi, « Marchandhomme » chez Bordage. Hommage inconscient ou volontaire ? Il m’a semblé deviner une filiation. Est-ce un auteur qui a influencé ton écriture ?

Hommage, sans aucun doute, parce que plusieurs récits de Bordage m'ont profondément marqué. Pierre Bordage a osé une SF très ambitieuse, très personnelle et - c'est mon avis - très européenne. Riche d'histoires et de cultures diverses. Bordage est aussi capable d'affronter la violence nue, sans hésitation. Et avec le courage de ne pas l'utiliser comme un simple catalyseur narratif mais au contraire en la dévisageant, en la dépeignant pour ce qu'elle est.

15) Tu nommes le désert « l’aliène ». C’est foucaldien, ou l’étymologie est à chercher ailleurs ?

La limite que pose la société, au-delà de laquelle on n'est plus dans la société, est très antérieure à Foucault. Dans les sociétés archaïques, la séparation cosmos-chaos était partout, spatiale, temporelle, sociale et intime. Cette limite est au fondement des rites (tabous, sacrifice, etc.) et très certainement, des religions.
L'aliène est le territoire du dehors. Le territoire du chaos, de la mutation. Son existence contraint la ville et la cerne aussi concrètement que l'espace pour une planète.

16) Tu as dit avoir été influencé par Gibson. Or ton monde tangente la fantasy, tant il semble lo-tech par moments, là où Gibson est très hi-tech. Tu peux préciser pour les lecteurs ?

Gibson a mis en scène l'hypertechnologie d'un futur proche, à un moment où elle se dissociait de l'objet : elle entrait dans les corps, devenait marque (donc symbole). Les données prenaient la consistance de mondes en soi, de territoires à explorer - la fameuse matrice via les consoles. Mais en fait, il me semble que Gibson voyait la technologie comme un chaman voit la nature. Et c'est là où je m'en sens très proche.
Dans Treis altitude zéro, la technologie est partout. Mais elle a atteint un certain niveau d'invisibilité. En partie du fait de l'échelle, celle des nanœuvres, des ondes et particules. Par ailleurs, il s'agit d'un futur lointain et les objets, les techniques peuvent paraître très exotiques à un lecteur d'aujourd'hui. D'où ces mots inconnus qui ont fini par former un glossaire.

17) Dans « Fragments de rose en hologramme » Gibson définit, de mémoire, l’hologramme comme un tout morcelé dont chaque morceau contient la totalité. Cette définition peut-elle s’appliquer à ton récit, présenté comme un assemblage de fragments courts ?

Oui, parfaitement ! C'est une définition extrêmement juste de ma manière de voir le monde et de l'écrire.

18) Je n’arrive pas à lire tes romans sans penser à Dune par son ambiance et sa problématique de gestion de la rareté (sans rien dire pour ne pas spoiler, c’est encore plus vrai après Treis). Quel est ton rapport à ce livre ?

Très fort ! Bien que ma lecture soit assez ancienne. Dune, c'est le type même de l'œuvre-monde. D'une œuvre telle qu'il paraît presque inconcevable que le monde qu'elle décrit n'ait pas existé, ou n'existe jamais.
Frank Herbert était obsédé par les potentiels d'évolution, par le possible humain, sous des formes spécialisées, via des artifices (drogues, technologies), par une recherche s'étalant sur de nombreuses générations (le Bene Gesserit). Tout cela m'a toujours profondément passionné et questionné.
Là où je m'en détache, peut-être, c'est dans la dimension christique du cycle, le référent à la tradition prophétique de l'élu. L'élu reste une figure-clé de notre civilisation, mais il s'agit à mes yeux d'une impasse, d'un mirage. D'un mirage particulièrement dangereux.

19) Le machiavélisme et la lutte des cités-États que tu décris doivent-ils quelque chose à René Girard ? Le massacre des nomades est-il utilitaire ou sacrificiel ?

Sacrificiel.
Et oui, ma pensée doit beaucoup aux écrits de René Girard. C'est un auteur fondateur pour moi. Pour son analyse de la religion et du pouvoir - et de la fonction réjuvénatrice du sacrifice - et dans sa critique de l'originalité en littérature (Mensonge romantique et vérité romanesque).

20) J’ai lu une excellente critique sur le blog Systar (et je vous conseille vraiment d'aller voir ce qu'est un vrai travail) qui pose les tours comme représentation d’un hyper platonisme. Tu assumes ?

La critique et l'exégèse de Systar sont tout à fait remarquables !
L'hyper-platonisme (où l'idée devient la matière en soi) est effectivement une caractéristique des Tours (pas le roman, mais les tours "physiques") où se développent les Ordres. Chaque tour synthétise une façon à la fois de penser et de faire le monde. La tour humane "pense" un monde organique et "forme" un monde organique. Ce qui est perçu détermine ce qui est conçu et inversement. Il y a fusion. Cette dimension totalisante explique d'ailleurs l'efficacité de chaque Ordre dans son champ de recherche et d'activité.

21) Sujet libre : que voudrais-tu dire encore ?

Je voudrais te remercier pour tes remarques et tes questions. J'ai été sidéré à plusieurs reprises par leur pertinence, leur justesse sur ce que j’écris, mais aussi sur ce que je porte.
Et c'est pour moi le plus vif des encouragements à écrire.


Je remercie très vivement Norbert Merjagnan pour cette longue et détaillée interview, et je lui donne rendez-vous quelque part dans l'aliène, le plus vite possible.

Commentaires

Munin a dit…
Superbe interview, Gromovar. C'est passionnant à lire. Bravo pour avoir ainsi mis en valeur ton invité, et l'avoir incité à se livrer de la sorte.
Efelle a dit…
Interview sympathique en effet et ce même si je ne suis pas fan.
Cédric Ferrand a dit…
Je ne connaissais pas le monsieur, et cette entrevue donne très envie de le lire. Merci, Gromovar, pour les questions pas simplistes.
chris a dit…
L'entretien donne envie de le lire (même pour un lecteur de série B :))
Gromovar a dit…
Voui. Il faut le lire.
Anudar a dit…
Excellente interview entre un très bon questionneur et un auteur à suivre. Si l'univers de Samarante est placé sous les auspices de Dune... cela ne peut que renforcer mon intérêt !
Lhisbei a dit…
Gromovar je crois que tu viens de te trouver une vocation :)

très belle interview !
Unknown a dit…
OUah ! ca c'est de l'interview ! j'avais l'impression de vous entendre.
Bravo :)
Chris a dit…
Ca y est, je l'ai lu : une excellente rencontre...
Gromovar a dit…
Alors, super :)