Sortie du troisième et dernier tome de la trilogie des Cités Divines . Je terminai ma chronique du tome 2 en écrivant que, surprise initiale passée, j'attendais un tome 3 meilleur que le tome 2. Mission accomplie par Robert Jackson Bennett avec ce très bon Cité des miracles . Comme pour les deux volumes précédents, La Cité des miracles est ici disponible dans une belle édition luxe, hardbound avec signet, que je conseille vivement. Je te renvoie, lecteur, aux chroniques précédentes pour le monde et les personnages . Et maintenant, allons-y, qu'en est-il de ce tome 3 ? On sait que je n'aime guère chroniquer des cycles car c'est toujours revenir un peu dans le proverbial vieux pot, en s'efforçant de ne pas trop spoiler ni d'être trop cryptique – l'horreur. Mais ici c'est avec plaisir que je m’attelle à la tâche de te conseiller, lecteur, ce volume 3. Explication : La Cité des miracles prend place 13 ou 14 ans entre les événements tragiques décrits dans L...
Comment dire Marcel Lehon ? Marcel Lehon est indicible.
Expliquer comment l’un de ses rarissimes CD m’est venu entre les mains, je ne le peux pas non plus. Certaines expériences se vivent et ne se racontent pas.
Qu’on sache seulement que Marcel Lehon est un poète corrézien maudit, un de ces chanteurs à texte que le monde nous envie. Qu’on sache encore qu’un monde de l’édition phonographique, tétanisé, l’a empêché de prendre son envol ; il faisait trop d’ombre aux valeurs établies. Qu’on sache enfin que la loi Hadopi a été adoptée en grande partie pour empêcher la circulation de ses œuvres et la diffusion de son message.
J’ai aujourd’hui décidé de rendre Marcel Lehon au monde. Je livre donc à vos oreilles ébaubies trois chansons de Marcel Lehon. Présentées d’abord dans leur pureté virginale, ces œuvres seront suivies de deux versions remixées (quoi que ça signifie), afin que chacun puisse constater comment l’industrie musicale tente de prostituer le talent.
Résiste Marcel ! Ils passeront, tu restes.
Commençons par les maquettes à capella, dans lesquelles le talent du poète couve sous la cendre.
Dans Le slow, le disco, Marcel Lehon prouve de manière éclatante qu'on peut être de la race des Brel, Brassens, Ferré, sans oublier d'être jeune. data="http://sites.google.com/site/quoideneuflebistrot/lecteur/dewplayer.swf" width="220" height="20" id="dewplayer" name="dewplayer">
Dans Lucie, Marcel Lehon explore les affres de l'amour, ses beautés aussi. data="http://sites.google.com/site/quoideneuflebistrot/lecteur/dewplayer.swf" width="220" height="20" id="dewplayer" name="dewplayer">
Dans T'en fais pas , mon P'tit Gars, chanson cryptosarkozyste, Marcel essaie de redonner courage aux chômeurs français. data="http://sites.google.com/site/quoideneuflebistrot/lecteur/dewplayer.swf" width="220" height="20" id="dewplayer" name="dewplayer">
Voici maintenant ce qu'aurait voulu en faire l'industrie musicale. Je vous laisse juges. Le slow, le disco Club mix data="http://sites.google.com/site/quoideneuflebistrot/lecteur/dewplayer.swf" width="220" height="20" id="dewplayer" name="dewplayer">
J'ai du être hospitalisé d'urgence pour hémorragie des oreilles, et je t'en tiens pour personnellement responsable. On s'arrange comment, je t'envoie la note de frais?
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