Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
- Obtenir le lien
- X
- Autres applications
Commentaires
J'espère en tout cas que les amis et la belle-famille n'auront pas trop de problèmes. Plus globalement, on peut souhaiter que tout le monde fasse le maximum là-bas
@ Chris : Je souhaite la même chose.
Le scénario nucléaire est un tel classique de la SF que c'est une référence obligée, de mauvais goût peut-être. Après, si je dédramatise c'est que j'ai fondamentalement confiance dans les techniciens et le matériel japonais, qui imho n'ont pas grand chose à voir avec ce qui pouvait se trouver à Tchernobyl.
Sinon je dois être le seul français à avoir un véritable ennemi sincère actuellement dans le secteur, ce qui fait que je n'ai pas été cherché de nouvelles le concernant, ce serait un peu tordu dans mon cas.
Tu lui as fait quoi à cet ennemi ?
Btw tu sais pourquoi "We'll meet again..." ?
Pour ton titre oui, j'aurai été bien en faute si j'avais pas vu, après avoir mis un extrait vidéo de ce film dernièrement sur mon blog !