Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
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Commentaires
C'est le genre de truc que j'ai envie de suivre, en effet :P ...
Le site est là : http://www.nieudan.com/quenouille/ (je vais éditer mon post).
Et je suppose qu'il publiera chaque lundi directement dessus.
Je vais y faire un tour pas plus tard que maintenant, du coup :) !
Je souhaite bien du courage à Éric, ceci dit.
Je suis jaloux de ne pas avoir son temps de clavier disponible.
Et puis, si Éric à le temps de venir commenter les billets qui parlent de lui, c'est qu'il n'applique pas correctement le getting things done.