The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Piece of shit


Bragelonne vient de traduire une belle...merde (c'est le mot juste, je crois). Comme je ne suis jamais en retard d'un nanard, je l'ai lu il y a quelques mois en VO. Je sais que ma chronique est (très) brève, mais je crois que l'essentiel y est.
Faites attention à la couverture française, elle est attirante dans un style RembrandtPunk. Mais faites-moi confiance. Economisez votre argent. Gardez-le pour acheter...n'importe quoi ; tout vaut mieux que ça.
Eglise électrique, Jeff Somers

Commentaires

Val a dit…
CA a le mérite d'être clair, net et précis :)
BiblioMan(u) a dit…
Le lapidaire a du bon parfois. Merci. ;O)
Gromovar a dit…
Parfois je me dis que je ne suis vraiment pas aimable. Puis ça me passe :-)
Unknown a dit…
Qui sait, peut-être le traducteur améliorera la chose. Quoique... le titre est assez fidèle merci.
Gromovar a dit…
En effet, le titre est bien traduit :-)
Efelle a dit…
Ca défoule...