Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
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Commentaires
@Guillaume : C'est l'auteure de "La vieille anglaise et le continent", 3 ou 4 prix.
C'est toujours triste de voir un lecteur déçu, mais c'est le jeu dès qu'on écrit pour être lu.
Déception à la hauteur du bon buzz et de l'espoir suscité.
Je n'ai pas encore lu "Blaguaparts".
>> *Pub éhontée on* Les recueils
>> de Griffe d'Encre sont tous
>> très bon, essayes-en donc un
>> autre, récent...*Pub éhonté off*
> Disons Blaguaparts ;-) ?
Ce serait plus compréhensible comme cela :)