The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Ma mère, ses cuisses charnues


Le haïku est l'une des rares formes d'art qui avait échappé à la zombimania actuelle, dans laquelle je me roule tel un débauché dans la luxure. Omission réparée grace à ce petit opuscule écrit à quatre mains par deux victimes de l'épidémie. Entre pensées, taches de sang, et fragments non identifiables, un voyage au coeur même de la catastrophe, un témoignage unique et irremplaçable.
Conseillé par Robert Kirkman, scénariste de Walking Dead.
Zombie Haïku, Ryan Mecum

Commentaires

El Jc a dit…
Mariage aussi étrange que curieux que celui de nos amis à la démarche hésitante avec cet art du pays du soleil levant. Je note pour une découverte future ;o)
Gromovar a dit…
Etonnant certes. Détonnant aussi.