The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Le blogueur qui prouve ce qu'il dit


Je tombe par hasard (je mens ; j'ai cherché une heure) sur une pièce archéologique, l'édition originale de "Mindstar Rising" dédicacée à votre bon Gromovar par Peter F. Hamilton lui-même.
Ayant récemment argué de l'ancienneté de sa lecture pour expliquer la faiblesse de mes souvenirs, je prouve ici mes assertions.
Quoi de neuf sur ma pile, c'est plus fiable que Wikipedia (n'est-ce pas Ségo ?).

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