The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

BOF


Dans un roman post-ap, il faut mettre du post-ap. Aucun intérêt donc. A éviter !

Royaume désuni, James Lovegrove

Commentaires

Val a dit…
Ca a le mérite d'être clair :)
Gromovar a dit…
Et pourtant, j'aimais bien Lovegrove.
Tigger Lilly a dit…
Dommage, la couverture est jolie.
Guillmot a dit…
C'est lui ou l'éditeur qui parle de post-apo ?
Gromovar a dit…
Ça je peux pas te le dire.
Une critique plus développée se trouve sur le Cafard. Pour moi, je ne perds pas mon temps à écrire après l'avoir déjà perdu à lire.
arutha a dit…
Euh ! Je crains que cette chronique rien de moins que lapidaire ne m'aide pas beaucoup. Ce n'est peut-être pas du post-ap mais c'est forcément quelque chose, peut-être aussi bien.
Même si apparemment pas.
Gromovar a dit…
Va voir sur le Cafard Cosmique. Il y a une chronique.
Guillmot a dit…
Vi j'ai lu la chronique de Cafard Cosmique ce matin