Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

A suivre


Je n'avais pas aimé le roman "The road" et je l'avais écrit (si on peut appeler ça écrire) ici. La faute à un style desséché, surement voulu comme illustration de la désolation du monde décrit.
Au cinéma, plus de problème de style. reste le fond, beau et poignant. Une histoire d'amour entre un père et son fils dans un monde désolé. L'espoir d'une survie possible malgré les innombrables dangers. Des scènes très dures dont la dureté n'est que le reflet de celle du monde, post-apocalyptique et uniformément gris, dans lequel cheminent les deux "héros" du film. Un film à voir.
La route, John Hillcoat

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