Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
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Commentaires
Et ce n'est pas Georges qui a écrit The Wheel of Time mais Robert. Paix à son âme.
En ce qui concerne le début j'avais bien aimé parce que je trouvais que ça traduisait bien l'intrication des situations de combat.
Ce n'est qu'après avoir envoyé mon commentaire que l'idée m'est venue que je pouvais avoir mal interprété tes propos, ce que tu confirmes.
Je dois tourner sept fois ma souris sur son tapis avant d'écrire.
Je dois tourner sept fois ma souris sur son tapis avant d'écrire.
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Je dois ...