Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...
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Commentaires
Et combien prévoyait-il de tomes à l'origine, GRR Martin ? 7 ?
Bon, on est pas rendus. :)
PS je me moque gentiment, je ne fais pas partie de ceux qui font du Martin-bashing sur les forums en critiquant sa lenteur d'écriture.
Cela dit ce n'est pas le dernier tome,non ?
L'intérêt était toujours là dans le dernier volume ?
Il ne se "wheeloftimise" pas ?
Moi non plus je ne fais pas de Martin-bashing ; mais j'aimerais quand même qu'il se bouge un peu 'grin'.
@ Efelle : C'est vraiment long mais c'est vraiment bon (désolé, je me mazaurise).