The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Ne jamais céder


Vu "Valkyrie" (la tentative échouée d'assassinat d'Hitler par des généraux de la Wehrmacht) hier au cinéma, dans un horrible cinéma truffé de djeunz' et de gens (heureusement ils n'avaient pas envie de voir ce film et filaient dans d'autres salles).




Vu "Hunger" (la grève de la faim de Bobby Sands pour obtenir le statut de prisonniers politiques pour les militants de l'IRA) il y a un mois dans une salle quasi-vide.


Dans les deux films le message primordial est le même. Il ne faut jamais céder. Il faut toujours résister, même au prix du péril. Ce n'est visiblement pas un message très adapté à une France contemporaine de consommateurs infantiles.

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