Yal Ayerdhal in Bifrost 118 - La fin de la guerre éternelle

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Yal Ayerdhal,  Scintillements . Il y raconte comment finit la "guerre éternelle" entre deux civilisations galactiques qui n'auront jamais pu communiquer. Dans un écho déformé de Lem ou d'Haldema...

BOF


Tout le monde, partout, chronique tout le bien qu'il pense de "Pixel Juice". Il est vrai que Jeff Noon a un style chatoyant et novateur (le son de Manchester en littérature ?).
MAIS, "Pixel Juice" se compose d'histoires très courtes, trop courtes. A de rares exceptions près, on pense au début de chaque histoire qu'il va se passer quelque chose, et à l'arrivée il ne s'est pas passé grand chose.
Ce recueil est beau, il promet plus qu'il ne donne, ce recueil est une allumeuse, et y pénétrer c'est aller droit au coïtus interruptus.
Pixel Juice, Jeff Noon

Commentaires

Anonyme a dit…
Personnellement je me suis arrêté à la nouvelle parue dans le n°52 de Bifrost, pas du tout ma came et tu sembles confirmer.
Gromovar a dit…
Heureux de voir que je ne suis pas le seul à être tombé de haut. Ca me rappelle les fanzines punk, très marrants dans la forme mais dispensables pour le fond.