The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

MUHAHAHAHAHAHA !

Commentaires

Celvec a dit…
héhé, c'est fait, vous avez croquer la pomme ! Le paradis du simple gsm n'est plus, vous devrez vous battre pour votre salut geekéen. (mais qu'es que c'est bon faut avouer !)

En procédant a un rapide retour en arrière, disons de quelques mois, je ne peux que féliciter votre flaire (baisse des prix, offre internet mobile + alléchante etc..). Un vaticinateur hors pair ou un ami chez orange :p ?
Gromovar a dit…
Comme disait Alf l'extraterrestre : "Quand on rampe la nuit sur les toits, on entend des choses". J'ai de bons informateurs ;-)
Mais l'information, c'est le nerf de la guerre. Songez que le jour du débarquement a été choisi grâce à des prévisions météo annonçant l'accalmie de la violente tempête en cours, prévisions dont la Wermacht ne disposait pas ce qui explique l'absence de ses officiers généraux.