The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Commencer en beauté


Superbe livre pour bien commencer l'année 2008. Un livre à offrir ou à s'offrir.
L'ouvrage rassemble, pour le meilleur et sous une même couverture, de courts textes explicatifs sur les maisons closes pendant les années folles, des références de chanson (connaissez-vous "Allons à Messine" ou "Le père Dupanloup" ?), de poésie, de films, de mots d'argot, etc... alliés à de magnifiques photos des pensionnaires de ces établissements, où l'on voit bien que, même si les styles (sous) vestimentaires changent, le corps féminin est toujours une bien belle chose.
Les années folles des maisons closes, Christian Marmonnier et Alex Varenne

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