The Butcher of the Forest - Premee Mohamed

Il y a des années de ça, quelqu'un disait dans une interview : « Les Blancs nous emmerdent avec leurs problèmes » . C'était Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino – je ne sais plus lequel – et il parlait, si mes souvenirs sont bons, des clips de Talking Heads ou de Laurie Anderson. Tu vois, lecteur, que je source avec grande qualité cette brève chronique. Que celle de ces deux personnes qui s'est vraiment exprimé sache que, dorénavant, c’est à peu près tout le monde qui nous emmerde avec ses problèmes. Démarrer ainsi la chronique de The Butcher of the Forest , novella fantastique de Premee Mohamed, te permet de subodorer, sagace lecteur, que je ne l'ai pas vraiment appréciée. Détaillons un peu plus. Temps et lieu indéterminé. Espace-temps des contes. Veris est une femme d'une quarantaine d'années qui vit dans un petit village, au cœur d'une région conquise par un tyran (oui, c'est son seul nom dans le texte) après une guerre et des massacres innommabl...

Rentrée

Je découvre mes nouveaux élèves (ils ont tous l'air gentils, la première semaine). Plus de boulot, moins de temps libre. Je vais moins lire, mais je réduirai le moins possible.
Je travaille le samedi matin et ça c'est vraiment chiatique. Merci au concepteur de mon emploi du temps.

Commentaires

Anonyme a dit…
Jusqu'à y'a pas longtemps, je ne travaillais pas le lundi, ni le vendredi, encore moins le samedi, et pas encore le dimanche. Pas mal pour un débutant. Mais visiblement, il y a du changement dans l'air. That's the way it is.
Gromovar a dit…
Je rêve d'un moment où je ne travaillerai ni le lundi, ni le mardi, ni le mercredi, ni le jeudi, ni le vendredi, ni le samedi, ni le dimanche. Travailler moins sans gagner moins, voila un slogan qui a de la gueule.
Anonyme a dit…
Gromovar for president!