"
Terminus radieux" d'Antoine Volodine, c'est comme
Jusqu'au bout du monde de Wim Wenders. Long, peut-être un poil trop, mais toujours très beau et passionnant.
On y voit une centenaire lire, dans son présent qui déchante, ces journaux du passé qui annonçaient des lendemains qui chantent. Tout est là.
Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le
Bifrost n° 77, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).
Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :
Des siècles après la fin de l'Homme Rouge, des morts-vivants, des princesses et des corbeaux s'obstinent à poursuivre le rêve soviétique.
Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :
Commentaires