Daryl Gregory : I’m Not Disappointed Just Mad AKA The Heaviest Couch in the Known Universe

Conseil aux nouveaux auteurs : Faites attention quand vous plaisantez en ligne. Imaginez, vous faites une blague sur l’écriture d’une histoire ridicule, quelque chose que vous n'écririez jamais ; ce n'est qu'une bonne blague jusqu’à ce qu’un éditeur en entende parler et vous demande d’écrire cette histoire. Il y a quelques années, sur un site, je disais à quel point Iain Banks était mon écrivain préféré mais que si je devais écrire un space opera, ce serait sur deux fumeurs défoncés qui manquent la guerre interstellaire parce qu’ils essaient de déplacer un canapé d’un bout à l’autre de la ville. Jonathan Strahan est alors intervenu et a dit : Je publierais ça. Ha ha ! Très drôle. Il a alors ajouté : Non, vraiment. Plus tard, on s’est croisés à une convention, et il m’a dit : Alors, cette histoire façon Iain Banks ? Et voilà, c'est fait ! Je sais, c’est une histoire absurde, mais en ces temps sombres... Sachez juste qu’elle a été écrite avec beaucoup d’amour et d’admir

Anamnèse de Lady Star, L.L. Kloetzer


"Anamnèse de Lady Star", le nouveau roman des L.L. Kloetzer qui sort ces jours-ci, c'est bien, c'est très bien, vraiment bien (rappelons que les Kloetzer avait obtenu le premier Prix Planète-SF des blogueurs pour Cleer, leur précédent ouvrage).

Mais je ne peux pas dire pourquoi c'est bien, ni comment c'est bien, juste répéter encore une fois que c'est bien. Car ma chronique sera dans le Bifrost n° 71, et elle ne reviendra ici qu'un an après la sortie de la revue (c'est à dire, pfff...).

Je peux au moins donner le résumé de couv' car celui-ci est disponible partout :

Le Satori a balayé l’humanité.
Le plus grand crime jamais commis sur Terre. Un attentat. Une pandémie terrifiante, laissant un monde exsangue, transformé. L’arme utilisée : la bombe iconique. Les coupables en ont été retrouvés, jugés et exécutés. Mais certains se sont échappés.
Parmi eux, une femme, leur inspiratrice, leur muse. Sa simple existence est un risque : tant qu’elle vit, la connaissance menant à la bombe vit aussi. Elle a disparu, ne laissant aucune trace, pas l’ombre d’une ombre. Des hommes disent pourtant l’avoir rencontrée : savants, soldats, terroristes, ermites… Ont-ils rêvé ?
Voici le récit d’une enquête, d’un jeu de pistes, de l’Asie à l’Europe, des terres dévastées jusqu’aux sociétés hyper-technologiques de l’après-catastrophe, mais aussi dans les archives digitales de notre futur. Avec le plus fou des enjeux : refermer la boîte de Pandore.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

Commentaires

Lhisbei a dit…
Nébal sort de ce corps ! Libère Gromovar tout de suite (crête incluse stp).

En tout cas il est dans le viseur celui-là :)

Lorhkan a dit…
Aaaaaah, salaud ! :D
Gromovar a dit…
Pas fou. Je veux vivre.
Tigger Lilly a dit…
Bravo ! J'attends l'arrivée de mon Bifrost incessamment sous peu dans ma boite aux lettres pour lire ça.
Thomas Day a dit…
C'est bien, Tigger Lilly, mais la critique du L.L Kloetzer sera dans celui d'après (en juillet, donc).
Guillmot a dit…
Mouarf ! Je vais en faire un billet tumblr, tu l'as bien cherché :D
Efelle a dit…
Du coup pour des impératifs éditoriaux (place, délais...) ta chronique ne sera lisible que bien après la sortie.
C'est un peu dommage.
Gromovar a dit…
La rançon de la gloire ;)